Ils ont choisi de ne plus travailler
Un jour, ils se sont dit : C’est fini, j’arrête ! Le métro, le boulot et la vie qui va avec : ils ont tout quitté pour se réinventer. Ni retraités ni chômeurs, sont-ils vraiment plus heureux qu’avant ? Quels obstacles ont-ils rencontrés, à quoi ont-ils dû renoncer ? Ils racontent.
In http://www.psychologies.com by Sylvain Michelet
Décider de ne plus travailler, alors que règnent le chômage, la peur de perdre son poste, la course à la recherche d’emploi ? Pour nombre d’entre nous, ce serait impensable. Certains, pourtant, ont fait ce choix. Ils n’ont pas pris cette décision sur un coup de tête ni par dégoût de leur métier, mais pour adopter un autre mode de vie, se consacrer à d’autres activités parfois plus prenantes : élever des enfants, pratiquer un art, construire une maison, vivre autrement, hors du système… Combien sont-ils ? Allez savoir ! Ils se retrouvent classés, dans les statistiques françaises, parmi les quatre millions six cent mille « inactifs en âge de travailler » – femmes au foyer en grande majorité. Ni étudiants, ni retraités, ni chômeurs, ils sont définis comme « ne travaillant pas et ne cherchant pas de travail (In De moins en moins d’inactifs entre la fin des études et l’âge de la retraite, Insee première, décembre 2002) ». Tous n’étant pas rentiers ni gagnants du Loto, ils ont réduit leurs dépenses, vivent généralement avec un salaire pour deux, ou bien d’allocations diverses, ou encore en communauté, et disent s’en satisfaire. Parfois même y avoir gagné… en qualité de vie, en cohérence avec eux-mêmes.
Changer de priorités
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